Sur les ancêtres champenois de Flaubert

Les Amis de Flaubert – Année 1961 – Bulletin n° 18 – Page 62

 

Sur les Ancêtres champenois de Flaubert

Question posée par Archimède, dans l’Intermédiaire des Chercheurs et Curieux, novembre 1960, colonne 988 :

« Quels sont les ancêtres champenois de Gustave Flaubert qui auraient été professeurs à l’École Vétérinaire d’Alfort ? ».

Réponse :

Dans la collection du Bulletin de la Société Les Amis de Flaubert, on trouve plusieurs articles consacrés à l’ascendance champenoise du grand écrivain.

Dans le numéro 1 (année 1951) : Gustave Flaubert dans la région de l’Aube et du Nogentais, par J. Mazeraud ; dans le numéro 5 (année 1994) : Flaubert, normand ou champenois, par le docteur André Finot ; Gustave Flaubert et la Champagne, par J. Mazeraud ; dans le numéro 12 (année 1958) : A Bagneux (Marne), j’ai rencontré la descendante de Flaubert « vétérinaire champenois », par J. Mazeraud ; dans le numéro 13 (année 1958) : Présence de Flaubert à Nogent-sur-Seine, par René Vigo, Président de la Société Académique de l’Aube.

Dans ces articles, les noms des Flaubert qui auraient professé à l’École d’Alfort ne sont pas indiqués, mais peut-être les auteurs des articles énumérés ci-dessus pourraient-ils fournir à notre confrère des renseignements complémentaires.

Signalons aussi un article d’André Billy dans Figaro Littéraire du 12 juillet 1958, intitulé : Flaubert était aussi champenois, et cet autre publié dans La Revue du Bas-Poitou (numéro juillet-août 1958), par P. Gambier : L’Ancêtre chouan de Flaubert.

Archimède aurait intérêt à s’adresser au Président de la Société Les Amis de Flaubert, M. Jacques Toutain-Revel, 51, rue Frédéric-Bérat, à Rouen, et aux auteurs des articles que je viens de citer. Je ne connais que l’adresse de M. J. Mazeraud, 27, rue du Trou-du-Chêne, à Romilly-sur-Seine (Aube). Voici une autre adresse : M. Gabriel Grolley, à Nogent-sur-Seine (rédacteur au « Journal de Nogent », je crois), auteur d’un ouvrage sur l’ascendance champenoise de Flaubert.

Réponse communiquée par M. Jean MONTIER, un de nos fidèles adhérents.

Cette question et la réponse en résultant seront reprises et traitées plus en détail encore dans le prochain Bulletin Flaubert, de nouveaux renseignements ayant été obtenus lors de l’impression du présent Bulletin et trop tard pour une insertion.