Les Trois Frères,scénario inédit de Gustave Flaubert

Les Amis de Flaubert – Année 1972 – Bulletin n° 41 – Page 20

 

Les Trois Frères

scénario inédit de Gustave Flaubert

La Bibliothèque Nationale a acquis, le 29 mai 1970, un nouveau manuscrit de Flaubert. Il s’agit d’un scénario établi en vue de la composition d’une pièce de théâtre. Le commentaire qui suivra ce texte s’efforcera de le dater.

Répertorié sous la cote NAF 15946, il porte en titre, de la main de Flaubert : Les Trois Frères, sur le premier feuillet. Il se compose de huit pages, le texte étant distribué de la façon suivante : p. I p.R° Titre — p. 2 R°/V° — 3, R »/V » — p. 4, R° — p. 5, R°/V° — p. 6, résumé de « tableaux. », R° — p. 7 (suite de ce résumé) R°/V° — p. 8, R°/V°.

En voici le texte. Pour en faciliter la compréhension, j’ai complété et modifié assez souvent la ponctuation, rétabli l’orthographe quand besoin était et supprimé les abréviations traditionnelles dans les manuscrits de Flaubert. Je ne tiens pas compte des suppressions ou ajouts, du reste assez peu nombreux dans un texte écrit, de toute évidence (l’écriture en témoigne), au courant de la plume.

***

Les Trois Frères

Dans un Olympe quelconque, l’Amour prétend pouvoir vaincre les mortels, tout seul, sans le secours d’aucune autre influence. La vanité et l’argent prétendent qu’ils sont plus forts. De là, défi entre eux.

La pièce n’est que leur lutte.

Afin d’abréger les choses et pour que l’expérience soit praticable, car autrement, il faudrait expérimenter sur tous les mortels, ils choisissent trois hommes.

Ce sont trois jeunes gens, d’aptitudes et de vices différents, l’un porté aux femmes, l’autre à l’argent, le troisième, plus intelligent, à l’orgueil.

Ils se séparent, chacun en quête de leur idéal. Les trois dieux faisant fonction de Mentor et de mauvais génies, sous des figures différentes, tantôt les aident et tantôt les contrarient. L’amour sert et pousse toujours son protégé ainsi des deux autres ; mais l’argent manque à l’amoureux qui ne peut venir à bout de ses séductions sans ce métal.

L’orgueil empêche l’avaricieux, etc. Pour cela, il suffit à l’amour de regarder, à l’avarice de toucher, à l’orgueil de souffler.

Une âme qui a le don de quitter son corps pour suivre plus facilement ses aspirations. Mais quand elle veut rentrer dans son corps, le corps est considérablement avarié ou même mort (1).

Cela peut être le dernier état de l’amoureux, de l’homme en quête d’idéal. D’abord libertin, lubrique, puis son désir s’aiguisant de soi-même, il est devenu (avec l’aide de l’orgueil) spiritualiste et presque mystique.

Chacun doit aller se renforçant dans sa passion, dans sa faute, dans son vice, dans sa voie, au lieu d’en changer.

Une jeune fille que les trois hommes rencontrent et méconnaissent sans cesse, toujours la même de caractère, bien qu’avec des visages différents, se déclare à la fin, c’est la sagesse.

L’amoureux ne l’a pas obtenue, parce qu’il n’avait pas d’argent on le dédaignait, l’orgueilleux parce qu’il n’avait ni amour ni argent, l’avaricieux parce qu’il n’avait ni amour ni orgueil (2).

Chacun des trois frères s’inquiète fort peu des deux autres et est partout disposé à lui marcher sur le ventre. Ils ne peuvent réussir que par sentiment de leur union, et tout le temps ils se combattent.

Le premier, l’amoureux, est en quête de l’amour. C’est là ce qui doit dominer comme faits dans toute la pièce.

Ses deux frères ne sont que des personnages accessoires ; tournant autour de lui. Tout l’intérieur doit porter sur lui. Il le rencontre plusieurs fois, l’amour. Mais ne l’apercevant pas, il passe outre. Il le nie parce qu’il ne peut l’obtenir, et il ne l’obtient pas par le fait de ses deux frères.

Il faudrait que dès le début (3) ils eussent dédaigné l’Héroïne (la sagesse, qui est tout ensemble l’amour, la gloire, la richesse).

Dès le début, le vaniteux (prodigue) doit se ruiner. L’homme qui cherche l’amour (une maîtresse idéale) doit passer par des pays différents, Angleterre, France, Espagne, Europe, Orient, puis pays fabuleux — Idem de ses frères.

Premier état en Europe.

L’amour est contrarié, empêché par l’argent ou la vanité. Les courtisanes froides. Les jeunes filles inaccessibles. Les matrones calculatrices (une qui se donne, -mais c’est pour servir l’ambition de son mari) (4).

Partout, il est enfoncé par ses deux frères, dont l’un banquier et l’autre grand seigneur. Mais le banquier voit qu’on ne le prend que pour ses écus, et le grand seigneur que pour son nom. L’amoureux est ici un poète élégiaque (5).

Ils vont en Orient, l’un pour y chercher des sultanes, l’autre des mines d’or, le troisième dans l’idée de se faire un royaume ou pour briller plus commodément (6). Ce premier tableau (7) peut finir par une panne générale. Le riche est ruiné, le grand seigneur conspué comme ayant usurpé un titre.

La jeune fille courtisée par le poète lui a dit de jouer tout entier à sa passion, il ne l’a pas fait. C’est là sa faute. Il eût gagné. Elle a dit à l’avaricieux de jouer, il a joué et perdu. C’est là sa faute. A l’orgueilleux de… Ainsi, tous, dès le premier tableau, ont méconnu la Sagesse (8).

En Orient, le poète est un touriste, léger et sot, lorgnette dans un étui, drogman (9) ; l’avaricieux, un banquier juif ou grec ; l’orgueilleux, un renégat qui a pris du service aux armées et est couvert de croix.

Le renégat est sans cesse humilié, indigné, reçoit des humiliations de la part de ses supérieurs, tout disposé aux trahisons. Mais se paye par les hommages de canaille.

Le banquier juif, mauvais estomac, triste, ne rêve qu’argent. Insomnies. Querelle le renégat qui, avec ses entreprises, fait baisser les fonds.

Le touriste lève le nez en l’air et rêve de s’introduire dans un harem, flaire toutes les femmes, reçoit des coups de bâton.

Cette première scène se passe dans un bazar ou un café turc.

Arrivés dans le sérail tous les trois pour exécuter leur dessein particulier, le touriste le rate parce qu’il n’a pas d’argent, le juif est tellement laid qu’il fait pousser des cris à la négresse ou à la sultane, l’orgueilleux effraie avec son sabre. On appelle, ils échappent. Mais tout est perdu (10).

Après leur échec, une vieille femme (la Sagesse) leur conseille de recommencer en s’y prenant mieux. Le touriste devra avoir de l’argent, travailler d’abord pour cela. L’orgueilleux, se faire, par la douceur, des partisans. L’avaricieux répandre l’argent intelligemment. Tous refusent.

Ils se décident à fréter un navire pour tenter ailleurs la fortune.

L’intensité de leur passion a augmenté dans ce tableau, tellement qu’il commence dans leur langage à y avoir un peu de folie. Ils sont furieux d’avoir manqué leur but et font des rêves insensés, « je voudrais… », qui se trouvent presque réalisés dans le décor du tableau suivant.

Il faudrait qu’à partir de ce moment-là, tous les souhaits, en tant que faits, se réalisassent. Ils sont dans un café à fumer du hachisch pour se consoler et en sacrant à qui mieux mieux, et le hachisch les conduit dans l’idéal.

L’orgueilleux et l’avare peuvent être jaloux de leur frère (car l’amour de toutes les femmes pour lui irrite l’orgueilleux et il a nécessairement de l’argent dont il ne fait cas). Ils lui dressent des embûches.
Tableaux

1 — Femmes-arbres. Matelots. Les seins-grappes, les branches les étouffant. Ce pays représente les joies grossières de la vie.

2 — Ile des Bossus. Tout biscornu. Pour dieu, un chameau.

3 — Pays des Perroquets, tous donnant dans les idées reçues, répétant des mots appris et qu’ils ne comprennent pas. Mène au…

4 — Pays des imbéciles. Les plus stupides sont les plus considérés. On pend les novateurs, etc.

5 — Pays de l’argent. Tout se fait pour l’argent.

6 — Pays de l’orgueil. Tout se fait par vanité.

7 — Pays des Chimères. Les unes sont furieuses, d’autres douces. Leurs maîtres, les habitants du pays, occupés seulement à les soigner. Quelques-uns portent les marques de leur morsure, sont ensanglantés. N’importe, ils continuent à les caresser. On vient dire à l’un : « ton père est mort », à l’autre : « ta maison brûle », à un autre : « ta fille est enlevée ». N’importe, ils ne s’occupent que de leurs chimères différentes. Chacun a la sienne. Ils continuent à les caresser et à les nourrir.

8 — Une grande salle marine, la salle des sirènes (tout est dans l’obscurité). De chaque côté de la scène, un rang de femmes échevelées, nues jusqu’à la ceinture, poissons d’argent par le bas, tenant autour de leur bras des girandoles de corail. Au fond, trône sur lequel est la reine, revêtue d’écaillés d’or. Au milieu de la scène, entre les deux rangs, une table sur laquelle un festin. Le héros doit boire les pleurs et le sang de toutes les victimes de l’amour. Terrible.

9 — Nécropole, Résurrection. L’énergie des épitaphes implique l’énergie du cadavre ressuscité. Trouble apporté dans une ville (11) (12).

10 — La vieille odalisque. Momie.

11 — Transparent (…) le cimetière (13).

12 — Pays des métaphores. Piliers d’estaminet, etc.

13 — Galerie de tableaux.

14 — La mer. Une vitrine du jardin d’acclimatation.

15 — Le monde minéral.

L’amoureux doit goûter l’amour dans le mariage (14). Fade et ennuyeux. Puritain. (Y mêler les tables tournantes comme élément du fantastique) (15).

L’argent y est représenté par un planteur qui exploite des nègres et l’orgueil par un industriel (ou un ministre) qui, vaincu dans la révolte, les tue, plutôt que de les affranchir (16).

Ce tableau pourrait précéder celui de l’Orient.

L’amoureux abandonne sa femme qui l’embête. Le riche est ruiné, l’orgueilleux puni. Tous trois filent pour chercher pâture ailleurs.

L’orgueilleux étant au comble du Pouvoir matériel se prend à être humilié dans sa sottise, se lance dans la Science, et devient moins bête. Puis, arrivé à l’orgueil de la Science, désire l’orgueil de l’amour (17). De même, l’amoureux rassasié de femmes désire la femme idéale.

Montrer que, d’abord, dans le cours ordinaire de la vie, aucun des trois ne réussit sans le concours des deux autres.

Puis tout leur réussit, extérieurement, comme faits. Mais arrivés là, l’idée de leur passion les déviera au-delà même du Fantastique.

Ainsi, l’amoureux ayant une femme qui l’aime et dont il est aimé (la meilleure de la terre) est jaloux de son passé, désire l’amour en soi, veut l’âme entière de cette femme. Et, à cause de cela, en doute et la repousse.

Le riche possesseur de trésors immenses est jaloux de la vigne du pauvre, finit par vouloir fondre le soleil. Médas.

L’orgueilleux applaudi par tous, n’est pas content de lui-même (18).

Ils doivent, à la fin, arriver : l’orgueilleux, à la folie, l’avaricieux au suicide, l’amoureux, toujours en quête d’idéal, au mysticisme, c’est-à-dire à n’avoir plus de corps. Ainsi, ils se sont détruits par leurs passions.

Ici (19), l’avaricieux est un juif marchand de tableaux et l’orgueilleux un riche qui n’y entend rien.

Femmes dans un musée. Les types de l’art et de l’histoire se détachant de leurs cadres. Il les poursuit, veut les saisir. Elles lui échappent.

Dégoûté de l’humanité, s’enfonce dans la nature, cherche les âmes des choses, des minéraux (20), des fleurs, puis veut n’être qu’une âme, un pur esprit et quitte son corps.

Commentaires

Tel se présente ce curieux scénario.

Relevons-en tout d’abord quelques caractéristiques générales, qui m’apparaissent comme particulièrement spécifiques de la pensée et du goût de Flaubert. Les intentions moralisatrices en premier lieu. Voilà trois frères qui, en fin de compte — Flaubert le dit en toutes lettres, et combien spontanément — « ont méconnu la sagesse » et « se sont détruits par leurs passions ». Quelle pièce édifiante eût été cette étrange féerie !

Ensuite, le décor. L’obsession de l’Orient. Le voyage accompli avec Du Camp a laissé, dans l’esprit de Flaubert, des traces durables.

Enfin, les procédés. L’Allégorie : l’amour, la vanité, l’argent, la sagesse… Procédé usé et artificiel, pour lequel, semble-t-il, Flaubert marque une certaine prédilection. Plus techniquement parlant, l’utilisation des « tableaux » (parmi lesquels on retrouve d’ailleurs ici quelques préoccupations bien flaubertiennes : le « pays des Perroquets, tous donnant dans les idées reçues, etc. », le « pays des imbéciles, les plus stupides sont les plus considérés. On pend les novateurs, etc. », le « pays des Chimères » : « le bovarysme » est décidément constamment présent à la pensée de Flaubert.

Cet ensemble, d’ailleurs, tend à montrer que ce scénario date de la période d’indécision qui précéda l’élaboration du Château des Cœurs (1862-1863).

Du reste, les points de contact entre les Trois Frères et la grande féerie de 1863 sautent aux yeux.

Procédé de la « quête », suite de tableaux, mélange de fantasmagorie et de satire, introduction du « merveilleux » (femmes-arbres, les seins-grappes, les types de l’art et de l’histoire se détachant de leurs cadres). Il est plus que probable qu’à un moment donné, Flaubert ait sérieusement songé à développer ce scénario et à en faire la fameuse féerie dont il rêvait.

D’autres détails viennent d’ailleurs renforcer cette hypothèse.

C’est ainsi que le texte des Trois Frères se recoupe à plusieurs reprises, avec des passages du carnet 19, que Mme Durry a publiés dans son ouvrage sur Flaubert et ses projets inédits (pp 64 à 73).

On lit, par exemple, dans le carnet 19 : « Théâtre. Dans une féerie. Voyager au Pays des Chimères… Dans le pays des Chimères, on voit tous les gens qui rêvent de Chimères différentes. » Plus loin, « dans une féerie… les piliers d’estaminets… A-t-on fait l’île des Bossus ?… Un pauvre diable… il prend du haschich. » (L’orthographe de ce nom est variable, chez Flaubert !)

Ceci encore : « La forêt des Femmes — des femmes-arbres, les bras et la chevelure faisant des branches ». Et ce détail, qui précise le texte de notre scénario (voir note 11) : « une résurrection. Perturbations que cela apporterait dans une ville si tous les morts d’un cimetière ressuscitaient ».

Mieux, le carnet 19, nous offre le thème général des Trois Frères « Qu’est-ce qui inspire l’amour ?… Trois hommes amoureux de la même femme… comme conclusion, c’est l’amour, il ne relève de personne et n’a besoin de rien. » (Cf. notre manuscrit : « l’amour prétend pouvoir vaincre les mortels, tout seul, sans le secours d’aucune autre influence »).

Enfin on lit encore dans le carnet 19 : « les trois épiciers… ou la Fille du Voisin — c’est celle-là qui sera la sagesse, les trois frères la dédaignent ».

Il apparaît clairement que la rédaction du scénario que l’on vient de lire et celle du carnet 19 sont contemporaines, sinon peut être simultanées, ce qui permet de dater sûrement Les Trois Frères de la période de préparation du Château des Cœurs, c’est-à-dire du printemps 1862.

Jacques-Louis Douchin.

(Nantes)

Notons également que Mme Katherine S. Kovacs travaille actuellement, aux Etats-Unis, sur une série de scénarios pour le théâtre achetée par l’Université d’Harvard et intitulée le Rêve et la Vie (ce qui fait penser au sous-titre de l’Aurélia de Nerval). Selon Mme Kovacs, ce manuscrit aurait du rapport avec la Spirale.

Il semble bien que tous ces inédits forment en quelque sorte un tout et que, décidément, Flaubert ait connu bien souvent la tentation d’écrire pour la scène.

 

 

(1) Ce passage n’est pas clair. On ne saisit pas très précisément la suite des idées. Parfait exemple de ces scénarios de Flaubert, sorte de masse informe, Incohérente, d’où pouvaient sortir, parfois, à force de travail et d’acharnement, des chefs-d’œuvre.

(2) A cet endroit du manuscrit, Flaubert a ajouté en marge un A après « dédaignait », un B après « argent », un C après « orgueil ». Il s’agit de renvois, développés de la façon suivante :

« A — Elle était une petite bourgeoise raisonnable. Gomment faire en ménage, répondait-elle ?

B — Elle était la fille d’un grand prince et s’est bien aperçue que c’était par vanité.

C — Elle était une riche héritière. »

(3) Flaubert « s’écrit à lui-même ». Procédé constant dans les scénarios, que l’on retrouve d’ailleurs chez d’autres écrivains. Voir par exemple les dossiers de Zola.

(4) Ici, en marge : « Dans ce tableau, la scène peut être dans une ville d’eaux. Bade. Joueurs. » (Fin 1861, Elisa Schlésinger fut internée à Illenau, dans le pays de Bade. Faut-il voir ici une allusion à ce fait ?)

(5) L’imagination de Flaubert procède par bonds successifs. C’est très net en ce passage.

(6) Ici, en marge : « Chaque déception les renforce ».

(7) Jusqu’à présent, rien n’indiquait qu’il s’agissait d’un premier tableau.

(8) En marge : « La frénésie du jeu amène à la fin des effets de fureur fantastique. Tout le monde perd la boule. »

(9) Souvenir évident du voyage en Orient.

(10) En marge : « Ils ne savent plus déjà qu’ils sont frères. II me semble vous avoir vu quelque part. »

(11) Sans doute à l’annonce d’un tel miracle ?

(12) En marge : « Est amené par la recherche de l’amour. »

(13) Passage incompréhensible. Un mot est illisible.

(14) Cette suite du scénario se situe au verso de la page précédente, qui contient la liste des tableaux.

(15) Curieuse idée. C’est, à ma connaissance, la seule allusion que nous ayons aux « tables tournantes », dans l’œuvre de Flaubert.

(16) Vague souvenir, peut-être, de La Case de l’Oncle Tom, un livre que

Flaubert détestait.

(17) Belle formule, jaillie spontanément de la plume d’un écrivain, dont on dit que les trouvailles sont laborieuses !

(18) En marge : « Il faudrait que tout cela, autant que possible, fût dans une seule action, et même une scène commune. »

(19) Cette fin de scénario, surajoutée, semble-t-il, se trouve au verso de la page précédente.

(20) En rapport avec le tableau prévu sous le numéro 15.