1961 La vie de notre Société 1

Les Amis de Flaubert – Année 1961 – Bulletin n° 18 – Page 67

 

La Vie de notre Société

 

Sommaire :

La remise de l’épée d’Académicien au Professeur Jean Pommier, p. 67-68 ‒ La Maison natale de Barbey d’Aurevilly, p. 68 ‒ Hommage à Henri Bretteville, p. 68 ‒ Le Nil de Gustave Flaubert, édité par le Collège technique Estienne, p. 68 ‒ La Société des Amis de Flaubert est nommée Membre correspondante de l’Académie Berrichonne, p. 69 ‒ Au Pavillon de Croisset, p. 69 ‒ Au Musée Flaubert de l’Hôtel-Dieu, p. 70 ‒ Le Musée Flaubert sera-t-il toujours « fermé aujourd’hui », p. 70-71 ‒ M. Paul Vauquelin Officier du mérite civil, p. 71 ‒ Hommage à Gontran Pailhès, p. 71-72 ‒ Deux manuscrits ont disparu, p. 72 ‒ Des nouvelles de nos amis flaubertistes, p. 72

Courrier du Bulletin

Journaux et revues qui veulent bien parler de notre bulletin, p. 73 ‒ Bulletins à réacheter, p. 73 ‒ Bulletins à réimprimer, p. 73 ‒ Correspondance de nos Adhérents, p. 74

 

LA VIE DE NOTRE SOCIÉTÉ

La remise de l’Épée d’Académicien au Professeur Jean Pommier

La remise de l’épée d’académicien au professeur Jean Pommier élu à l’Académie des Sciences Morales et Politiques (30 novembre 1959), a donné lieu à une très belle cérémonie qui s’est déroulée au Collège de France le samedi 14 janvier dernier (1961).

Une assistance nombreuse avait répondu à l’appel du Comité d’Organisation de la Fête, présidé par M. Claude Pichois, lui-même professeur agrégé à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université d’Aix.

Dans un magnifique écrin, l’épée d’académicien a été offerte à M. Jean Pommier, dans le même temps où les discours apportaient à l’éminent professeur un juste tribut de reconnaissance admirative.

Ont pris successivement la parole :

— M. Pierre Reboul, Doyen de la Faculté des Lettres de Lille, au nom des Anciens Élèves de M. Pommier.

— M. Raymond Lebègue, membre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, professeur à la Sorbonne, au nom des professeurs de la Sorbonne où enseigna M. Pommier.

— M. Marcel Bataillon, membre de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, administrateur du Collège de France, au nom de cette Maison.

— M. Martial Guéroult, membre de l’Académie des Sciences Morales et Politiques, professeur d’Histoire de la Philosophie au Collège de France, au nom de tous les amis de M. Pommier.

La Société des Amis de Flaubert, que M. Claude Pichois avait invitée à la cérémonie (n’oublions pas que M. Jean Pommier est notre vice-président) était représentée par M. Jacques Toutain-Revel, MM. Bosquet, Maurice Rat, Hervé Donnard, Pierre Lambert.

Renouvelons à M. Jean Pommier, le savant et sympathique professeur au Collège de France (chaire de l’Histoire des Créations Littéraires), les

compliments de notre Société pour tout ce qu’il fait en faveur de Flaubert et de son œuvre.

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La Maison natale de Barbey d’Aurevilly

Dans notre dernier Bulletin n° 17, nous annoncions que la maison natale de Jules Barbey d’Aurevilly était à vendre.

La Société des Écrivains Normands, que préside avec le plus grand dévouement notre ami René Herval, et notre Société des Amis de Flaubert ont vigoureusement protesté contre cette vente qui, si elle était réalisée, conduirait vraisemblablement à la démolition de la maison, d’ailleurs en assez mauvais état.

Une heureuse nouvelle — encore qu’elle soit partielle — vient de nous parvenir. Après avoir longtemps hésité — il demeure acquis que cette hésitation toute légitime se basait sur de justes soucis financiers — la Municipalité de Saint-Sauveur-le-Vicomte a voté l’acquisition de cette maison.

M. Cousin, maire de Saint-Sauveur-le-Vicomte, a bien voulu nous écrire à ce sujet (sa lettre du 3 janvier 1961) pour nous donner les détails sur le projet en vue de réalisation. Il souhaite vivement que le Département de la Manche vote une indispensable subvention.

La Société des Amis de Flaubert non seulement complimente de tout cœur la vaillante Municipalité de Saint-Sauveur, mais fera tout ce qui sera possible pour éviter à la maison natale de Barbey le sort malheureux de la maison de Flaubert, vendue et démolie un an après la mort de l’écrivain.

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Hommage à Henri Bretteville

La Famille, les Amis et le Personnel de l’Imprimerie Bretteville ont fait éditer une plaquette à la mémoire de Henri Bretteville qui fut l’imprimeur que nous avons tant apprécié et admiré.

Cette plaquette résume parfaitement la vie de labeur et de droiture de Henri Bretteville qui exerça sa profession comme d’autres exercent un sacerdoce.

L’Imprimerie Bretteville a bien voulu nous faire parvenir un exemplaire de cette petite brochure.

Nous l’en remercions avec autant de sincérité que d’émotion.

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Le Nil de Gustave Flaubert, édité par le Collège Technique Estienne

Le Collège Technique Estienne (Arts et Industries du Livre à Paris) a édité, dans le courant de 1960, une magnifique brochure contenant les Récits et Notes de Voyage de Gustave Flaubert quand, en compagnie de Maxime du Camp, il fit son voyage en Orient (Égypte-Judée-Grèce) de 1849 à 1851.

L’École Estienne a bien voulu faire parvenir à notre Société un exemplaire de cette belle brochure. Nous l’en remercions bien sincèrement.

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La Société des Amis de Flaubert est nommée

Membre correspondante de l’Académie Berrichonne

Dans sa séance publique du 22 octobre 1960, l’Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts du Berry a nommé en qualité de membre Correspondante la Société des Amis de Flaubert et lui a fait parvenir le diplôme afférent à ce titre.

C’est pour notre Société une très bienveillante marque d’estime dont tous nos adhérents seront flattés.

Rien ne peut nous faire plus de plaisir et surtout mieux nous encourager que cette union toute spirituelle de Sociétés Littéraires. Notre seul idéal à atteindre est de faire comprendre nos efforts, et si ce n’est pas trop orgueilleux de notre part, la nécessité de ces efforts.

Un grand merci à l’Académie Berrichonne.

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Au Pavillon de Croisset

Dans notre dernier numéro du Bulletin Flaubert (n° 17), nous avons signalé que l’Usine Aubry (Croisset), très voisine du Pavillon Flaubert, construisait (ou se proposait de construire), au ras du mur mitoyen, différents bâtiments à usage industriel.

Nous indiquions regretter ces constructions, non point pour donner un avis sur un aménagement industriel qui ne nous regarde pas, mais pour déplorer qu’à proximité du jardin et du Pavillon Flaubert se bâtissent des hangars métalliques, ceci d’autant plus que le Pavillon et ses dépendances, classés Monuments Historiques, bénéficient d’une zone légale de protection de 35 mètres.

Plusieurs interventions ne paraissent pas avoir donné de grands résultats.

M. André Grégoire, architecte des Monuments Historiques, qui nous a donné, à plusieurs reprises, les marques de sa précieuse amitié, nous a écrit (17 septembre 1960) pour nous signaler que si l’on ne pouvait interdire aux Papeteries Aubry de construire au long du mur mitoyen (car il ne s’agirait pas de constructions nouvelles, mais de ré-édification de hangars détruits par fait de guerre 1939-1945), il espérait obtenir une hauteur limite de construction et la plantation d’un rideau d’arbres entre les deux propriétés.

Il n’apparaît pas — tout au moins à ce jour — que si les hangars ont une hauteur de toits raisonnable, un rideau d’arbres ait été planté.

Notre Société, pour laquelle le Pavillon Flaubert est plus qu’une relique, déplore — objectivement parlant et sans critique qui pourrait paraître déplacée — ces édifications, et à tout le moins leur non dissimulation.

Notons à ce sujet un court article paru dans Liberté-Dimanche (Dimanche 11 Décembre 1960) que, pour n’être désagréable à quiconque, nous ne voulons point reproduire ici, et qui, peut-être de manière un peu rude, traduit le sentiment de ceux pour lesquels Flaubert demeure un grand nom.

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Au Musée Flaubert de l’Hôtel-Dieu

À côté du Pavillon de Croisset dont nous avons ci-dessus parlé, voici le Musée Flaubert de l’Hôtel-Dieu de Rouen qui nous préoccupe à juste titre.

Depuis plus d’un an (février 1960) le Musée Flaubert, sous prétexte de travaux d’aménagement, est fermé. À plusieurs reprises, notre Société s’est étonnée de cette fermeture et n’a obtenu que des réponses très évasives à ce sujet.

Rouen qui s’honore d’être la Ville Musée et qui devrait s’honorer encore plus d’avoir été le berceau de Corneille et de Flaubert, conserve décidément à l’égard de ses grands hommes une réserve pour ne pas dire une indifférence invraisemblable et incompréhensible.

Le Musée Flaubert qui dépend du point de vue administratif des Hospices Civils de Rouen (par le truchement d’ailleurs de l’École de Médecine et de Pharmacie, ou plutôt de son Musée) cherche un Conservateur, ou ce qui est plus bizarre peut-être, le moyen de le faire nommer !

Notre Société s’est offerte, non point pour gérer le Musée Flaubert comme il l’a été affirmé bien à tort, mais pour proposer à l’administration responsable un et même plusieurs noms de Conservateurs. Cette proposition n’a eu aucune suite (et même, sans la moindre critique, aucune réponse).

Tout cela, on le comprendra, nous navre et nous humilie. Que l’aide de notre Société ne soit point retenue, que ses appels ne soient pas entendus, cela ne nous cause aucune peine, on peut même écrire aucune surprise. Mais que le Musée Flaubert soit fermé, on a tout de même le droit de s’en étonner et de protester !

Terminons ce bref article en reproduisant celui de la Liberté-Dimanche (Rouen) du dimanche 19 février 1961, qui résume parfaitement la question.

Le Musée Flaubert sera-t-il toujours « fermé aujourd’hui » ?

À l’Hôtel-Dieu, sur la porte du Musée Flaubert, il y a une pancarte sur laquelle on peut lire : « Fermé aujourd’hui ». Elle s’y trouve depuis un an. Beaucoup de Rouennais ont pu se rendre compte que c’est « Fermé chaque jour » qu’il aurait fallu écrire.

Que se passe-t-il au Musée Flaubert ? Situé dans l’enclave de l’Hôtel-Dieu, il est propriété des hospices civils de Rouen. Naguère, l’excellent René-Marie Martin qui avait accompli sa carrière dans cette administration, en avait accepté bénévolement la surveillance. Il l’avait organisé tant bien que mal et enrichi dans les mêmes conditions. Il venait chaque jour dans le pavillon où est né l’auteur de Madame Bovary et y accueillait les visiteurs. Ainsi les Flaubertistes étrangers ne se heurtaient pas à une porte close. Depuis, René-Marie Martin a pris, pour la deuxième fois, sa retraite. Une dame lui succéda. Elle aussi s’est retirée. Désormais, le musée n’est plus gardé.

Un espoir se fit jour, il y a une année environ, quand la ville sollicita M. Hossard, pharmacien rue de la République. M. Hossard accepta la responsabilité du Musée, mais demanda quelques crédits et de l’assistance pour sa remise en ordre. Ce n’est pas superflu…

Là, toutefois, on se heurte à des difficultés. M. Cultru, directeur des

Hospices, ne peut distraire les sommes nécessaires à la réorganisation du Musée, de leur affectation ordinaire. De son côté, la ville ne semble pas pouvoir décrocher les sommes indispensables, sans en priver d’autres objectifs. Par ailleurs, la Direction nationale des musées de province attend encore, à Paris, semble-t-il, les documents qui lui permettraient de ratifier la nomination de M. Hossard en qualité de conservateur « officiel ». Si cette régularisation s’effectue, elle ne résoudra pas entièrement d’autres difficultés. M. Hossard est pharmacien et ne pourra assumer seul l’ouverture quotidienne, l’été du moins, du Musée.

Le petit problème, les autorités compétentes devraient s’ingénier à le solutionner. Nous nous souvenons de certain beffroi qui resta fermé longtemps, trop longtemps. Et un jour… Pour le Musée Flaubert est-ce tellement plus difficile ?

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M. Paul Vauquelin Officier du Mérite Civil

Le « Bulletin officiel des décorations » du 10 décembre publie un arrêté du Ministère de l’Intérieur, aux termes duquel M. Paul Vauquelin, conseiller général, maire de Maromme, est nommé officier dans l’ordre du Mérite civil.

Cette promotion vient reconnaître le dynamisme particulier que manifeste M. Paul Vauquelin dans sa charge de maire et dans celle de conseiller général. On sait combien d’efforts déploie le vice-président de la commission départementale pour favoriser l’expansion régionale.

En qualité de président de l’Office départemental d’H.L.M. de la Seine-Maritime, il a également contribué à réduire la crise du logement dans notre département.

Ajoutons — et ce n’est pas le moindre des titres à nos yeux — que M. Paul Vauquelin est un de nos Sociétaires, qu’il est ardent Flaubertiste (le futur Groupe Scolaire de Maromme portera le nom de Gustave Flaubert) et qu’il assiste fidèlement à toutes nos manifestations.

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Hommage à Gontran Pailhès

Gontran Pailhès, le brillant et si aimable chroniqueur de Paris-Normandie, est décédé en son domicile de la rue Bertrand, à Rouen, le 19 novembre 1960.

C’était pour notre Société — comme pour toutes les Sociétés d’ailleurs — un réel ami. D’un dévouement, d’une modestie et d’une compétence à toute épreuve, mis souvent à contribution, Gontran Pailhès se plaisait à rendre service, à guider les chercheurs et à renseigner sur tout.

Il connaissait à fond l’histoire de Rouen, ville à laquelle il avait consacré son temps et son talent.

Car il écrivait de brillantes chroniques et il écrivait de brillantes revues et scènes jouées à la grande joie de tous..

Pour notre Société des Amis de Flaubert, Gontran Pailhès n’avait que prévenance et que gentillesse. Il rendait compte de sa plume alerte et enjouée de nos travaux et de nos efforts. Il se plaisait, nous le répétons avec fierté et émotion, à rendre service. En bref, c’était une âme forte et généreuse.

La Société des Amis de Flaubert offre à la famille de Gontran Pailhès, à son épouse et à son fils Yvon qui à Paris-Normandie s’occupe de questions littéraires et qui nous a déjà prouvé sa réelle amitié, l’hommage de ses condoléances aussi justes qu’attristées.

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Deux Manuscrits ont disparu

On sait que le 19 janvier 1961 (à une heure qui n’est point parvenue à notre connaissance) deux manuscrits ont disparu. Il s’agit des célèbres Maximes de la Rochefoucauld, appartenant à la duchesse de la Rochefoucauld, et conservés comme tel en l’hôtel familial des descendants du célèbre écrivain.

Suivant l’usage en telle matière (où le réel parfois n’est pas toujours bien connu) on ne sait pas grand-chose de cette disparition qui fera peut-être parler d’elle sans qu’on retrouve, à défaut du kleptomane, au moins le précieux objet. Notre ami Maurice d’Hartoy, en son manoir de la Cour Normande de Varengeville-sur-Mer, possède sinon le trésor, quelque chose qui s’identifie à lui, en l’espèce la photocopie du manuscrit.

Et si l’original ne doit jamais se retrouver — espérons quand même en la sagesse du « dérobateur » — nous aurons pour le moins, quelque part en Normandie, la reproduction fidèle de ces Maximes qui font, à juste titre, la fierté des lettrés de France.

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Des nouvelles de nos Amis flaubertistes

M Claude Chevreuil, de Cachan (Seine), nous a écrit le 5 décembre 1960, pour nous signaler qu’il faisait des recherches à Nogent-sur-Seine (archives municipales et notariales) pour trouver les traces des séjours de Flaubert en cette localité.

M. Chevreuil souhaiterait retrouver la correspondance Parain-Bonenfant à la famille Flaubert.

Nous avons donné, en réponse à M. Chevreuil, les quelques renseignements qu’il sollicitait de nous, et réitérons que notre Société sera heureuse de le recevoir à Rouen et à Croisset quand il nous fera l’amitié d’y venir,

— Mlle Claude Boulot, également de Cachan (Seine), nous a écrit, le 14 décembre 1960, pour nous signaler qu’elle travaillait à son diplôme de Lettres Modernes avec M. Castex, professeur à la Sorbonne. Elle a choisi comme thèse : Les Personnages Secondaires dans l’Éducation Sentimentale.

Nous avons communiqué à Mlle Claude Boulot les quelques renseignements que nous avions sur ce point, en faisant observer que les brouillons et manuscrits de l’Éducation Sentimentale n’étaient point demeurés à Rouen, mais avaient été, hélas ! dispersés à Paris, tant du vivant de Mme Franklin Grout qu’à son décès.

Nous serons heureux de publier la thèse de Mlle Claude Boulot (si elle nous fait l’amitié de nous la communiquer), thèse qui répond à un réel besoin, car si les personnages principaux peuvent être plus ou moins bien décelés, les personnages secondaires ne peuvent l’être aisément, encore que Maxime du Camp en ses Souvenirs Littéraires ait écrit qu’il les connaissait tous, et que sur tous il pouvait mettre un nom, suggestion qui, malheureusement, n’eut pas de suite.

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Journaux et Revues qui veulent bien parler de notre Bulletin

Nous remercions sincèrement les Revues suivantes qui nous font l’honneur et le plaisir du service de leur Bulletin — nous leur envoyons, bien entendu, le nôtre en réciprocité — et acceptent de nous réserver quelques lignes dans le Bulletin de leur Société :

Revue des Deux Mondes, numéro du 15 janvier 1961, qui nous réserve un Écho très favorable.

Société des Écrivains Normands, qui commente aimablement les rubriques du Bulletin.

Terroirs Vivants, qui passe régulièrement le Sommaire de chaque Bulletin.

Revue du département de la Manche.

Académie Berrichonne.

Les Cahiers Naturalistes (Société Émile Zola).

Société J.-K. Huysmans.

Le Cerf-Volant.

Un grand merci à Paris-Normandie et un plus grand encore à Liberté-Dimanche qui, sous la signature d’Yvon Pailhès (fils du très regretté Gontran Pailhès) et de Paul Leroy, veulent bien rendre compte des efforts littéraires de notre Société et publier des Échos la concernant.

Bulletins à ré-acheter

Plusieurs sociétaires et de nombreux libraires ou éditeurs nous demandent les Bulletins Flaubert, 1 à 10 inclus et particulièrement 2 et 4.

Nous demandons à nos sociétaires qui accepteraient de rétrocéder ces Bulletins, de bien vouloir nous le faire savoir pour reprise éventuelle.

Prix de la reprise : 2 NF. par Bulletin.

 

Bulletins à ré-imprimer

Notre Société se préoccupe toujours de la ré-impression tant demandée des premiers Bulletins, de 1 à 10 et notamment 1, 2, 3 et 4.

Elle ne pourra envisager cette opération que si le nombre des souscripteurs est au moins d’une centaine, chiffre dont on est encore un peu loin.

Que ceux de nos adhérents qui souhaiteraient cette ré-impression, nous donnent leurs noms (pour les noms déjà donnés, inutile de récidiver) et nous tirerons une seconde édition dès le nombre suffisant atteint.

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Correspondance de nos Adhérents

Notre Société est toujours très flattée de recevoir des nouvelles de ses adhérents.

Remercions tout particulièrement ceux qui nous font parvenir des conseils et des encouragements. Nous avons besoin du concours de tous.

Particulièrement :

M. Gaston Bosquet, qui nous fait parvenir de précieux textes sur Flaubert.

M. Lemonnier-Leblanc, qui nous a donné d’excellents renseignements sur une émission réservée à Guy de Maupassant. Télévision du jeudi 15 septembre 1960. Portrait-souvenir de Guy de Maupassant, par MM. Roger Stéphane et Maurice Druon, comportant des vues de Croisset.

M. Pierre Lambert, qui nous a donné les résultats de ses recherches sur le masque de Flaubert au Musée Carnavalet.

M. Auguste Martin, qui nous remercié de l’envoi à lui fait du récit de notre excursion littéraire de juillet 1960 en Pays de Caux.

M. Henri Cahan, qui nous a donné une excellente évocation de Maupassant au Pays de Caux (même excursion que ci-dessus).

M. Maurice d’Hartoy, qui ne manque pas — et nous nous en réjouissons — de nous communiquer des détails sur ses précieux travaux littéraires.

Mme G. Dubos, qui parle avec tant de bienveillance de notre Société dans son Bulletin Scolaire (École de Sauqueville, près Dieppe).

Et remercions aussi tous ceux qui, à l’occasion de leur correspondance, ont la bienveillance d’ajouter un mot amical à l’égard de notre Société.