Publication et vie sociale – suite

Les Amis de Flaubert – Année 1972 – Bulletin n° 41 – Page 31
 

Publication et vie sociale (suite)

Flaubert et la presse — 11

 

Les mêmes incohérences sont apparentes dans la vie sociale de Flaubert. II y a d’ailleurs une évolution dans sa manière de vivre. Jusqu’en 1855 environ, il élève à la hauteur d’un principe de vie son « ourserie » et son isolement du monde extérieur : nous avons vu que cela ne l’empêchait pas de lire les journaux. Dès qu’il commence à publier, son mode de vie se trouve transformé. Dès 1856, il vient passer à Paris une partie de l’année, et loin de lui être désagréable, malgré ce qu’il dit, ce séjour constitue pour lui une sorte de récréation. Certes, lorsqu’il travaille à une œuvre, il revient à sa vie de reclus (1) ; mais il commence à se partager entre la solitude de Croisset et la vie mondaine de Paris : cela signifie qu’il entre en relations directes avec le milieu de la presse, « A ce moment, écrit M. Thibaudet, Flaubert n’est plus tout à fait le reclus de Croisset (…) Maintenant qu’il a travaillé pour la gloire et dans la gloire littéraire, il aime à jouir des bénéfices de cette gloire. Le moment est venu où il peut répondre à l’ancien appel de Du Camp. » (2) Dans quelle mesure Flaubert est-il mêlé — même si souvent il reste spectateur — au tourbillon de fièvre et d’ambition qui agite les milieux parisiens de la presse et des lettres ?

A coup sûr, il rencontre de nombreuses personnalités parisiennes, car il est là en partie pour assurer la publication de ses œuvres et surveille la publicité qui se fait autour d’elles. Il est des amis anciens qui peuvent bien faire du journalisme sans que Flaubert s’en soucie. Pourtant, il s’est brouillé avec Du Camp : c’est la preuve qu’il sait résister aux influences qui l’écarteraient de l’Art. Mais leurs relations redeviennent meilleures lorsqu’il vient à Paris. Le fait qu’Ernest Feydeau fasse du journalisme n’est pas non plus très révélateur, bien que Flaubert semble ne jamais critiquer la voie qu’il a suivie. D’ailleurs, de lui-même, Flaubert fait la distinction entre l’homme et le journaliste : par exemple, avec Lapierre, rédacteur du « Nouvelliste de Rouen ». On a vu qu’il était capable de couper les ponts avec un journal sans pour autant rompre avec les rédacteurs. C’est une preuve que la haine de Flaubert à l’égard de la presse est théorique, et qu’il ne peut la maintenir dans la vie ; comment dissocier de façon cohérente l’homme du travail qu’il fait, lorsqu’il l’a choisi ?

Mais s’il a déjà des amis journalistes, Flaubert en venant à Paris noue de nouvelles relations, y compris dans le milieu des journalistes. Nous avons vu qu’il lit avec attention les critiques sur ses œuvres : cela ne veut pas dire qu’il en connaisse les auteurs. Mais on remarque que, dès 1857, i1 est sensible aux éloges que contient l’article de Sainte-Beuve sur Madame de Bovary. Jusqu’alors, il englobait Sainte-Beuve dans sa haine des journalistes. En 1863, il répond par une lettre personnelle aux articles que celui-ci consacre à Salammbô, et le ton en est pour le moins amical :

(…) Je termine en vous disant encore une fois merci, mon cher Maître. En me donnant des égratignures, vous m’avez très tendrement serré les mains et bien que vous m’ayez quelque peu ri au nez, vous ne m’en avez pas moins fait trois grands saluts, trois grands articles très détaillés, très considérables (…) (3).

ll finit par rencontrer Sainte-Beuve et le voir régulièrement aux dîners Magny ; il se montre même affecté de sa mort. Son amitié avec George Sand a aussi comme point de départ un article qu’a fait celle-ci sur Salammbô. Flaubert noue de nombreuses amitiés et ce sont souvent des amitiés qui peuvent lui être utiles. II est à remarquer, au passage, que dès le voyage en Orient, Flaubert a rencontré Edouard Delessert et qu’il parle de lui comme d’une connaissance à cultiver. On pense au jugement quelque peu fielleux que portent sur lui les Goncourt :

De tous côtés, je perçois des souterrains en lui. Sourdement, il se pousse à tout, noue ses relations, fait un réseau de bonnes connaissances, tout en faisant le dégoûté, le paresseux, le solitaire (4).

A tout le moins Flaubert n’est-il pas toujours en accord avec ses principes. Il semble que ses idées, si fermement exprimées soient-elles, évoluent en fait rapidement dans la pratique, et selon les gens qu’il rencontre. L’histoire de son amitié avec Gautier est à cet égard significative. Il le range d’abord, on l’a vu, parmi les hommes qui ont gâché leur talent à la besogne servile du journal, et il en parle d’une façon dédaigneuse. Mais, peu à peu, lorsque Gautier, grâce à Louise Colet, commence à s’intéresser à l’œuvre de Flaubert, celui-ci s’adoucit, et noue des relations amicales avec l’écrivain-journaliste : si ce sont d’abord des relations « utilitaires », elles se transforment assez vite au point que Flaubert reçoit Gautier chez lui, à Croisset en particulier. A partir du moment où il commence à publier, il est directement concerné par la « bataille » qui se joue à Paris pour les ambitieux’ ; la position de principe de Flaubert ne l’empêche pas alors de participer aux menées qui sont chose courante dans le milieu qu’il fréquente et il mène une vie sociale assez active tout le temps qu’il est à Paris. |

Bien qu’il prétende ne se rallier à aucun groupe et mener la vie solitaire de l’artiste, retiré dans sa tour d’ivoire, Flaubert fréquente des cercles bien définis de la société parisienne. Fréquenter les « dîners Magny » relève chez lui de ce genre de contradiction. Notons que Sainte-Beuve est l’un de ceux qui ont établi l’institution ; un dîner littéraire tous les samedis, puis chaque quinzaine chez le traiteur Magny. Flaubert ne se fait pas prier lorsque les Goncourt  l’y introduisent. Or, il peut y voir de nombreux journalistes : Charles Edmond, directeur du feuilleton de la Presse, avec lequel il entretient des relations personnelles, sinon amicales, Nefftzer, rédacteur en chef du Temps, Taillandier qui travaille à la Revue des Deux-Mondes, d’autres encore, selon les occasions. S’il ne les fréquente pas au point de les recevoir chez lui — il est à noter qu’il reçoit pourtant Sainte-Beuve à Paris — il ne paraît pas se heurter à eux ou refuser toute relation avec eux. Bien que ces convives des dîners Magny ne semblent pas de nature à lui plaire, il n’en dit mot, au début, et jusque vers 1867, il fréquente assidûment ce « banquet Magny » qu’il conseille à Gautier de ne pas manquer (5). Mais il a, quand même, de brusques sursauts de révolte, qui ne semblent pas liés à sa haine du monde de la presse :

On a tenu au dernier Magny « de telles conversations de portiers que je me suis juré intérieurement de n’y pas remettre les pieds (6) :

Ces conversations de « portiers » concernent, en particulier, l’actualité, les nouvelles de la politique internationale. Flaubert retrouve son dégoût de l’actualité, après plusieurs années d’une fréquentation contraire à ses principes. Mais pour quitter le cadre de ces réunions, il n’en abandonne pas pour autant la vie mondaine et les conversations amicales :

J’ai lâché complètement le dîner Magny où l’on a intercalé des binettes odieuses avec les Bichons (7) et Théo (8).

Ces « binettes odieuses », quelles sont-elles ? Celles de journalistes peut-être ou d’hommes « arrivés » d’une manière ou d’une autre, qui entraînent la conversation vers les discussions politiques ou les petites intrigues de la cour impériale. Pourtant, à en juger d’après le Journal des Goncourt des années 1867-1868, les dîners Magny n’ont guère changé d’esprit. Il est curieux de voir comment Flaubert a supporté, et même apprécié pendant plusieurs années l’institution qu’étaient devenus ces repas littéraires, et comment par un sursaut de révolte, par un éclat soudain, il se libère pour marquer son indépendance d’esprit.

Cette révolte de Flaubert, conforme à ses principes, n’est qu’apparente. Il continue à fréquenter le salon de la princesse Mathilde, et ses amis sont toujours les mêmes ; ceux qu’il voyait aux dîners Magny, Gautier, les Goncourt, Duplan, et même Sainte-Beuve ; il les voit aussi chez la princesse. Lui qui prétend ne rallier aucun groupe, aucun mouvement d’opinion, mais n’avoir que quelques amis choisis, il ne semble pas se rendre compte que cette élite amicale forme un cercle défini socialement et « idéologiquement ». La princesse Mathilde, cousine de l’empereur, fronde pourtant aimablement l’empire : elle est .proche de la famille impériale, mais il lui arrive de critiquer la politique ou l’attitude de Napoléon III, comme le fait son frère, le prince Napoléon. Mais ce n’est guère qu’une opposition de salon. Dans ce cercle, on prétend aimer l’art, la littérature, n’avoir que des goûts désintéressés : on refuse de rejoindre la bourgeoisie « d’affaires » dont les intérêts sont défendus par la politique impériale. Cette opposition est un élégant amusement, une manière de prétendre à l’indépendance d’esprit qui ne résiste guère aux événements : la guerre de 1870 en particulier. Flaubert, on l’a vu, réagit face à l’invasion et à la commune de la même façon que ce cercle de bourgeois cultivés. On tient dans le salon de la princesse des conversations légères, point trop sérieuses, on ne s’attarde pas à l’actualité ; on y a le culte de l’art. Flaubert ne voit dans ce cercle qu’une réunion d’amis qui partagent ses idées, il ne se rend pas vraiment compte qu’il rejoint, en fait, les rangs d’une certaine partie de la bourgeoisie qui se refuse comme telle, se constitue en élite désintéressée, et transpose sur le plan culturel ses privilèges économiques et sociaux. Le jugement de Flaubert sur la presse ne paraît pas vraiment original. La presse aussi comme puissance établie, fait l’objet des entretiens autour de lui. Le journal des Goncourt en fait foi ; ainsi : « Après dîner, l’on cause de la vénalité du journalisme » (9). Il est couramment admis que les journalistes sont vendus » ; on en dit du mal, on parle des duels à la plume, des rivalités entre les journaux, des « capitans journalistes » (10) ; on ne se fait pas faute de critiquer les journalistes en vue, même ceux que l’on connaît, surtout eux. Flaubert a maintes fois l’occasion, au cours de sa vie mondaine, de participer à de telles conversations. Mais alors que dans les salons, la presse est un sujet d’entretien au même titre que le dernier « salon », ou les frasques du prince Napoléon, Flaubert, lui, apporte le sérieux et l’emportement de sa révolte dans ces conversations. Même s’il se contredit lui-même en fréquentant des journalistes en se souciant de leur avis et en comptant avec leur puissance, il garde intact son pouvoir de révolte. C’est dans l’expression violente — même si elle est intermittente — de sa révolte, dans la sincérité de sa colère du moment, que Flaubert se sépare du cercle qu’il fréquente et dépasse les opinions modérées et légères qui sont celles de ses relations.

Flaubert ne mène donc pas une vie telle que la voudraient ses théories. D’abord, il est en relations constantes avec le milieu de la presse, il le connaît bien et ne s’en tient pas à l’écart comme il le proclame de temps à autre. Ce sont des relations utiles qu’il cultive. Et il faut remarquer qu’il a souvent un comportement proche de celui qu’il exècre chez les journalistes : il se préoccupe du succès de ses œuvres et cherche à l’assurer par tous les moyens, il se soucie de l’argent que la publication de ses œuvres peut lui procurer, il n’est pas indifférent aux succès mondains — en témoigne la jubilation qu’il éprouve à imaginer la tête des Rouennais apprenant ses succès à Compiègne, à la cour impériale (11). — Cette contradiction, on la rencontrera aussi dans l’œuvre de Flaubert. S’il exècre la presse, il n’en connaît pas moins son travail et son milieu ; il exprime lui-même parfois les opinions qu’en d’autres temps il stigmatise chez les autres, et il se comporte souvent comme les personnages dont il a fait la caricature. Lorsqu’on examine l’évolution du comportement social de Flaubert, et de son attitude à l’égard de la publication de ses œuvres, on se rend compte des contradictions qui le marquent : même dans sa vie sociale et mondaine, il a encore des sursauts de révolte ; mais on voit aussi qu’il est plus influençable qu’il le voudrait. Sa révolte individualiste ne dépasse pas certaines limites ; il est porté par le courant général qui amène les écrivains de son temps à vitupérer la presse comme incompatible avec l’art — même s’ils font eux-mêmes un travail de journaliste — à considérer l’artiste comme un solitaire incompris de la foule : toutes opinions qui ne les empêchent pas de créer leur propre « aristocratie » et de faire partie d’une élite intellectuelle.

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Conclusion

Les incohérences de l’attitude de Flaubert à l’égard de la presse ont pu être décelées dans sa façon de lire les journaux, et dans sa vie sociale. On en trouverait bien d’autres, qui ont parfois été notées au passage : ainsi le fait qu’il écrive des articles en faveur de ses amis, lui qui répugne à écrire rapidement et à sacrifier au travail négligé et servile des journalistes. On peut aussi noter que sa haine de la critique, qui est proche de sa haine de la presse et a souvent les mêmes motifs, ne l’empêche pas de concevoir pour lui-même des desseins critiques.

Quand je serai vieux, je ferai de la critique ; ça me soulagera, car, souvent, j’étouffe d’opinions rentrées (12).

ll élabore même une théorie de la critique qu’il voudrait scientifique. De la même façon, il lui arrive de penser à la création d’une revue, qui serait totalement indépendante et aurait toute liberté pour exprimer ses opinions : bien sûr, elle risquerait d’être aussi sectaire que les revues antérieures. Remarquons encore que sa façon même de voyager est parfois celle d’un « reporter » : les lettres qu’il écrit au cours de son voyage en Orient constituent une sorte d’enquête, où il mêle les récits anecdotiques sur la vie et les mœurs des Egyptiens, des Grecs, etc., les descriptions pittoresques, les notes archéologiques, les remarques politiques et sociales, en particulier en Egypte. D’ailleurs, la Revue Orientale lui avait demandé la permission de publier certaines lettres en guise d’articles (13). La presse l’influence donc directement.

Malgré la cohérence et la virulence de son jugement sur la presse, Flaubert fait preuve de certaines inconséquences dans la vie pratique : il se contredit ; il se jette avec autant de fièvre dans l’activité, qu’il a mis de violence à prôner l’isolement et la « contemplation ». On ne peut pas expliquer ses contradictions par son seul caractère, Les Goncourt sentent et jugent, l’incohérence de son attitude :

Notez chez lui un déploiement furieux de gestes, de fièvres, de voix, de témoignages violents de toutes sortes et là-dessous, cependant, toujours l’arrêté prudent et bourgeois. Et le poussez-vous, vous le trouverez toujours resté au seuil du succès (14).

Flaubert s’arrête au seuil de la révolte : il se comporte en bourgeois mal affranchi de sa classe. On l’a vu, il rejoint dans son détachement de l’actualité et de la politique, les opinions du cercle de bourgeois cultivés qu’il fréquente. Il n’est pas aussi détaché qu’il le dit, les événements graves le montrent. Le contenu même de sa révolte est apparenté aux opinions que professe la bourgeoisie à laquelle il appartient : la frange qui, proche de la bourgeoisie « d’affaires » par les intérêts, s’en détache pourtant pour se consacrer aux activités intellectuelles.

Mais la révolte de Flaubert est pourtant originale : par la virulence avec laquelle elle s’exprime, son opinion sur la presse ne ressemble pas à celle des gens qu’il fréquente. Qu’il y ait parfois de la « pose » dans ses « témoignages violents », qu’il y ait en lui une souplesse qui lui permet d’adapter son ton à la personnalité de son interlocuteur, soit. Mais ce qui est intéressant à considérer, c’est ce qui reste en lui de fondamental : une révolte qui subsiste et se traduit par des explosions rageuses, même s’il ne la conduit pas jusqu’au bout, même si dans la pratique il n’est pas toujours logique avec lui-même. Il dément souvent par ses actions l’opinion qu’il vient d’exprimer, il semble souvent exprimer des idées sur la presse qui sont courantes autour de lui : et pourtant la façon dont il porte un jugement lui est personnelle. .ll ne se contente pas de ranger la presse dans la catégorie des « maux nécessaires » : il lui voue une haine particulière, et en même temps, elle l’attire. Il ne peut s’empêcher de lire des journaux, ne serait-ce que pour y trouver la confirmation de ses théories. Il est fasciné par la puissance que représente la presse et la maudit en même temps. Il lui prête sûrement beaucoup plus d’attention que ne le font ses amis. La presse, en effet, représente beaucoup pour lui : il la critique pour elle-même, mais aussi pour tout ce qu’elle colporte. Elle fait partie de tout un ensemble, elle est pour Flaubert le symbole de tout ce qui menace l’homme intelligent : c’est pourquoi il lui voue une haine particulière, qui n’est pas exempte d’attirance. Ce sentiment ambigu le fait tomber dans de nombreuses contradictions, et c’est par la révolte — des éclats de colère intermittents sans doute, mais qui reviennent tout au long de sa vie — qu’il tente de résoudre ces contradictions, de les justifier. Le double aspect, contradictoire, de son jugement sur la presse se retrouve dans son œuvre littéraire. C’est peut-être là qu’on peut voir comment il va plus loin que ses contemporains dans le mépris et la révolte, sans, pourtant, pouvoir masquer des contradictions qui tiennent à son milieu.

Nicole Frénois

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L’ensemble de l’étude est réparti ainsi  : Flaubert et la presseLa haine de Flaubert pour les journaux Les journalistes – La presse par opposition à l’art – Flaubert contre la presseLa critique journalistiqueL’influence directe de la presse sur FlaubertInformation et documentation L’intérêt de Flaubert pour l’actualitéPublication et vie sociale 1Publication et vie sociale 2L’influence a contrario de la presse sur Flaubert : la création littéraireLes personnages romanesques et la presseLa presse dans L’Éducation sentimentaleConclusion

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(1) A Mlle Le Royer de Chantepie, 18 mars 1857, C.V. p. 164 : « j’ai un peu couru le monde et je connais à fond ce Paris que vous rêvez ; rien ne vaut une bonne lecture au coin du feu ».

(2) A. Thibaudet  Gustave Flaubert, p. 158,

(3) 23-24 décembre 1862, C.V. p. 55.

(4) E. et J. de Goncourt, op. cit. p.208 , 23 novembre 1862.

(5) A Théophile Gautier, mai ou début juin 1863, C.V. p. 94.

(6) A George Sand, fin février – début mars 1867, C.V. p. 282.

(7) Il s’agit des Goncourt…

(8) A Jules Duplan, 14 mars 1868, C.V. p. 364.

(9) II s’agit d’un dîner chez la Païva. Goncourt op. cit. 5 janv. 1868, t. VIII,p.78

(10) Cf. Goncourt  t. VIII, p. 149, 28 novembre 1868.

(11) A sa nièce, 17 novembre 1864, C.V. p. 162.

(12) A George Sand, 5 août 1868, C.V. p. 386.

(13) Cf. au Dr Cloquet, 15 janvier 1850, C. II, p. 150.

(14) Goncourt op. cit., 21 mai 1862, t. V., p. 115.